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Pourquoi faire attention à son alimentation pour le sport ?

Êtes-vous un athlète ? Êtes-vous un crossfitter ? Si vous commencez une nouvelle pratique comme le yoga, vous recevrez sans doute des recommandations sur ce qu’il faut manger de la part d’un certain nombre de personnes qui ont les meilleures intentions du monde.

Il est bien connu que chaque sport a un niveau de difficulté, une durée, un ensemble de règlements et même les vêtements requis pour participer (gants, talons, chaussures, chapeaux, etc.) différents. Les spécificités sont de savoir que chaque athlète a des caractéristiques physiques qui nécessitent un régime alimentaire unique, même lorsqu’un groupe d’athlètes, par exemple 11 joueurs de football, pratiquent tous la même activité avec des horaires identiques.

On peut trouver dans le même groupe un joueur souffrant d’une intolérance au lactose, un diabétique, un joueur qui perd du sodium, un joueur qui essaie de réguler son poids et un joueur qui essaie de prendre du volume. De ce fait, le principe de suivre le même régime pour tous échoue instantanément. Par conséquent, je vous invite à faire les actions suivantes lorsque vous prêtez attention aux conseils ou que vous les recevez dans un parc ou une salle de sport :

  1. Il est essentiel de comprendre les qualités de l’activité pratiquée. Par exemple, le sport du football produit des rafales d’activité très élevée qui sont séparées par des intervalles de récupération d’intensité d’exercice relativement modeste. En revanche, l’énergie anaérobie, qui est constituée à 50 % de glycogène musculaire et qui fournit l’énergie nécessaire à l’échange d’ATP, est soutenue par l’offre d’exercices de haute intensité tels que les sprints, les sauts, etc.
  2. Déterminer la composition corporelle d’une personne par des mesures anthropométriques ou des techniques de bio-impédance (que l’on trouve généralement en pharmacie ou dans les poids courants). La taille, le poids, les plis et les circonférences sont des informations essentielles. Elles permettent au nutritionniste d’établir l’objectif et d’envisager la question sous plusieurs aspects. Que l’objectif soit d’augmenter la masse maigre, de réduire la graisse ou de la maintenir.
  3. La troisième étape, la plus cruciale, consiste pour le nutritionniste à poser à l’athlète des questions approfondies sur ses habitudes et son éducation. Maintenant que ces trois principes sont évidents, il ne reste plus qu’à choisir les conseils les mieux adaptés au sport, au physique et au mode de vie de l’athlète.

La clé sera de trouver des tactiques qui permettront à l’athlète d’arriver à chaque séance d’entraînement avec l’énergie nécessaire pour la terminer et de mettre davantage l’accent sur les concours une fois que le plan est sur les rails.

En théorie, le fait de manger fréquemment facilitera la récupération entre les exercices si vous consommez 3 à 5 grammes de glucides. Ce nutriment peut être consommé jusqu’à 10g/kg/poids si vous choisissez un régime avec une consommation plus importante.

Lorsque les sports d’équipe ou les coureurs atteignent le stade de la compétition, il est conseillé de prendre un repas contenant 2,5 g de CHO par kilogramme de poids corporel trois à quatre heures avant. Des exemples de tels repas sont les spaghettis avec des sauces à base de tomates, le poulet grillé et les bananes cuites au four.

Une consommation de 25 à 30 g de boissons pour sportifs ou de fruits apportera l’énergie nécessaire pour augmenter le taux de sucre dans le sang à l’approche de la compétition et juste avant l’échauffement, ce qui permettra de conserver les réserves plus longtemps.

Les possibilités de s’alimenter changent en fonction du sport une fois que l’entraînement ou la compétition commence. Seulement pendant la mi-temps au football, à chaque fois entre les sets au tennis, et après le combat dans les arts martiaux. Il est conseillé d’ingérer 30 à 60 gr/CHO/heure de gels pour sportifs, de boissons pour sportifs ou d’aliments qui ont été consommés pendant l’exercice, comme des bonbons ou des snacks.

Le processus de guérison commence ensuite. La resynthèse du glycogène musculaire et la réparation du muscle exercé sont donc optimisées lorsque des régimes contenant à la fois des glucides et des protéines sont consommés. Les besoins des joueurs amateurs peuvent être satisfaits par des boissons à base de lait ou de yaourt. Les athlètes professionnels participant à des tournois locaux et internationaux devront employer d’autres techniques plus agressives.

Tous les athlètes sont censés suivre ces suggestions. Le degré de compétition déterminera la quantité. Pour les enfants ou les athlètes amateurs, le fait d’opter pour de plus petites portions garantira que ces conseils n’auront pas d’impact à long terme sur leur poids.

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